Appel aux évènements sociaux/culturels pour le Congrès mondial de la nature de l’UICN 2020
L'appel aux évènements sociaux / culturels et réunions privées pour le Congrès mondial de la nature de l'UICN 2020 (7-15…
Pour l’ADEME, l’innovation low-tech est présentée comme un ensemble d’approches résolument systémiques, s’inscrivant dans une perspective d’autonomie, d’autosuffisance, d’adaptabilité, de transformabilité et de résilience territoriales.
Toutefois, aujourd’hui, le sujet des low-tech est encore peu approprié par ces institutions, et si nous pensons que celles-ci occupent une place importante pour promouvoir les conditions d’émergence d’un modèle social, organisationnel, culturel, technique et économique low-tech, en dessiner les contours conceptuels et pratiques, notre travail nous a également permis d’explorer les barrières à l’engagement de celles-ci sur le sujet des low-tech. Aussi, notre étude nous a permis d’intégrer à notre réflexion la contraposée de notre problématique initiale en se demandant si et en quoi les arts, et plus spécifiquement les institutions culturelles, en se saisissant de la démarche low-tech, pouvaient l’enrichir.
La notion de low-tech offre l’opportunité aux institutions culturelles de réfléchir à l’accessibilité des propositions consistant à revisiter les techniques. Comment ne pas réduire les propositions low-tech à une série d’images, sélectionnées et diffusées par le haut, et qui ne constituent pas en soi un imaginaire ? Il s’agit ici de se demander comment concevoir une programmation et une médiation démocratique des propositions low-tech. De fait, la question de la participation des publics est au cœur des préoccupations des institutions culturelles.
Double objectif de l’Etude :
Déroulé de l’étude :
1/ Exploration.
L’exploration préliminaire nous a permis d’alimenter la réflexion autour des imaginaires low-tech, autant que la problématique de l’étude. Elle a été réalisée grâce à l’organisation de deux sessions d’acculturation avec les équipes de l’EPPGHV, de deux « Cafés lowtech », et d’une session d’intelligence collective (Artistes invités: Laurent Tixador, Filipe Vilas-Boas)
2/ Expérimentation.
La phase 2 a permis d’élaborer 12 propositions d’action pouvant être mises en place par le Parc de la Villette et appropriables par d’autres établissements culturels sur la thématique des low-tech. L’une de ces propositions a été mise en action, sous la forme d’une exposition itinérante au cours de l’Exposition 100% low-tech, comme une manière de tester cette proposition culturelle sur le low-tech au sein du Parc.
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3/ Finalisation, restitution, partage.
Cette dernière étape nous a permis de finaliser et de partager ce Livre Blanc, dont l’objectif est à la fois de défricher le sujet de la culture low-tech portée par les institutions culturelles, mais aussi de faire émerger des propositions qui puissent être essaimées et appropriées par d’autres entités culturelles afin qu’elles puissent se faire la chambre d’écho d’une culture low-tech auprès de leurs publics.
Contexte : AMI Low-techs en île-de-france de l’ADEME
Territoire d’étude et d’expériementation : Parc de la Vilette
Partenariat : Villette Makerz et AZIMIO field consulting
Equipe du projet :
Nora Youcefi – Cheffe de projet, rédaction et enquête, AZIMIO
Laurène de Saint Chaffray – Rédaction et enquête, AZIMIO
Samuel Rémy – Référent administratif, expériementations et acculturation, Villette Markerz
Consultez le site web ICI
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